En 2003, le système bancaire est privatisé. Les banques islandaises attirent massivement des fonds étrangers grâce à des taux intéressants. Elles proposent également des prêts en monnaies étrangères que la classe moyenne islandaise contracte en grand nombre. Les secteurs financiers et bancaires deviennent totalement hypertrophiés par rapport à l’économie réelle. En 2008, les actifs des trois principales banques islandaises pèsent dix fois le PIB du pays. Et évidemment, cette forte exposition des banques s’avère redoutable lorsque la crise financière éclate en septembre 2008.
© ARTE, en collaboration avec le Lépac
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